Zéro enfant en situation de pauvreté
Un travail de longue haleine
NOTRE MISSION.
Mettre fin à la pauvreté infantile
Si cela dépendait de nous, la pauvreté infantile n’existerait pas en Belgique. En attendant, nous mettons tout en œuvre pour aider les enfants et les jeunes dans le besoin. Par un support matériel et social à long terme, en mettant en place une solution structurelle.
NOTRE VISION.
Honnêteté, sincérité
et transparence
À notre fondation, nous avons signé une charte de qualité. Cette charte, nous la prenons très au sérieux. Nous nous y imposons les normes les plus élevées. Vous pouvez compter sur notre honnêteté, notre sincérité et notre transparence, ainsi que sur notre application de la Convention européenne des droits de l’homme, de la Constitution belge et de toutes les lois du Royaume de Belgique, en particulier la Convention relative aux droits de l’enfant.
Ce qu’incarne
Pelicano
L’amour du prochain
Pelicano est née d’une idée philanthropique. La philanthropie, l’humanité la pratique depuis des siècles : prendre sous son aile ceux qui se trouvent dans une situation plus difficile est une attitude profondément humaine. Peut-être même un devoir moral.
Prendre soin des enfants
Sauver un enfant, c’est sauver le monde. Nous sommes pleinement convaincus de cette variante d’un vieux dicton. Chaque vie humaine a une valeur inestimable. Améliorer la vie d’un enfant a des conséquences sur de nombreuses générations futures.
Loyauté et confiance
On n’aide pas un enfant de manière ponctuelle, mais dans la mesure du possible pendant le reste de sa vie. C’est la promesse que nous faisons à tous les enfants Pelicano : vous pouvez compter sur nous jusqu’à ce que vous soyez autonomes.
Faites connaissance avec
nos collaborateurs
Fonctionnement journalier
Christiaan Hoorne
Julien Etienne
Anje Huysentruyt
Catherine Houman
Kristin Blondé
Peter Bals
Christiaan Hoorne
Marie-Claude Maertens
Karl De Coux
Julien Etienne
Baron Marc Bossuyt
Jean-Luc Cottyn
Marie-Claude Maertens
Catherine Houman
Questions et réponses.
Réponses aux questions les plus fréquentes
Vous avez une question sur ce que fait Pelicano ? Sur la manière dont vous pouvez nous aider ? Nous avons regroupé ici les réponses à quelques-unes des questions les plus fréquentes.
La Fondation Pelicano aborde la lutte contre l’extrême pauvreté infantile d’une manière très particulière. Pas avec des cadeaux ou des aides ponctuelles, mais en instaurant un soutien à long terme.
Jusqu’à ce qu’ils décrochent un diplôme ou achèvent leur formation, les enfants Pelicano peuvent compter sur nous pour supporter tous les frais pour qu’ils bénéficient d’une alimentation saine, de vêtements adaptés, de soins (para)médicaux, de sport, de culture et de loisirs, de support scolaire et d’hygiène personnelle.
En d’autres termes, nous offrons aux enfants Pelicano toute l’aide financière dont ils ont besoin pour pouvoir jouer un rôle actif dans la société.
Nous avons ainsi brisé le cercle de la pauvreté pour 3 134 enfants. Prenant en compte qu’un enfant Pelicano bénéficie de notre aide pendant dix ans en moyenne, il est crucial que nous recevions un maximum de dons.
La Fondation Pelicano est née en 2008. À son origine : sept amis, soutenus par une demande émanant du Palais Royal et de la reine Paola.
Pelicano a été constituée sous la forme d’une fondation d’utilité publique reconnue par arrêté royal ayant pour objet de collecter des ressources par le biais de donateurs et de successions. Ces ressources servent à offrir une aide financière à long terme aux enfants de Belgique qui vivent dans le dénuement total.
Pendant la première année, il avait été convenu d’accompagner un enfant en Flandre, un à Bruxelles et un en Wallonie, l’objectif ayant tout de suite été d’être présent à l’échelle nationale. À la fin de cette première année, douze enfants bénéficiaient d’une aide.
Trouver les fonds nécessaires était un défi de taille. Dès le 1er janvier 2015, nous apportions un appui durable à 186 enfants répartis dans tout le pays.
Dans ce cadre, nous prenons tout en charge, comme s’il s’agissait de nos propres enfants. Notre croissance soutenue nous a poussés à nous structurer. C’est à ce moment que nous avons pris la décision de doter à Pelicano l’organisation professionnelle qu’elle a encore à ce jour.
Si cela dépendait de nous, il n’y aurait plus de pauvreté infantile en Belgique. Aucun enfant ne mérite de grandir dans la pauvreté et de se voir privé de ses chances. Pour extraire réellement un enfant de la pauvreté, nous adoptons une approche unique. Nous offrons à l’enfant un soutien à long terme reposant sur six piliers : une alimentation saine ; des vêtements adaptés ; des soins (para)médicaux ; du sport, de la culture et des loisirs ; un soutien scolaire ; une bonne hygiène personnelle.
Nous offrons à l’enfant toute l’aide financière dont il a besoin jusqu’à ce qu’il décroche son diplôme ou ait achevé une formation et puisse participer activement dans la société. C’est à notre avis la seule manière de briser le cercle vicieux de la pauvreté.
« Est-il réaliste de vouloir sauver tous les enfants de la pauvreté ? », vous entendons-nous penser. Plus nous pouvons en aider, mieux c’est. Et notre approche prouve que c’est possible. Un euro investi dans un enfant en situation de pauvreté rapporte cinq à neuf euros à la société. N’est-ce pas une magnifique perspective ?
« Mon don arrive-t-il entre de bonnes mains ? Et qui le vérifie ? » Ces questions sont justifiées. Soyez assuré que votre contribution sera dépensée le mieux possible. Et oui, il y a énormément de contrôles. Audit annuel interne et externe, contrôle annuel par le SPF Finances et suivi étroit du Palais Royal : soyez certain que votre soutien arrivera entre de bonnes mains.
De nombreuses personnes aimeraient savoir quels enfants nous soutenons. Nous espérons que vous comprendrez que nous ne pouvons pas révéler leur identité. Il s’agit en effet de mineurs vulnérables. Ils ont donc le droit absolu d’être aidés en tout confidentialité, comme le stipule explicitement notre Charte
Notre pays compte déjà de nombreuses initiatives visant à lutter contre la pauvreté (infantile). Pensez à l’Allocation Familiale Complémentaire (AFC). Il y a également des plans d’action, des primes scolaires et autres, et des allocations pour des personnes sans travail ou malades. D’autres instances, comme les CPAS ou l’ONE, fournissent également un excellent travail.
Pourtant, aujourd’hui, de nombreuses familles sont – de plus en plus souvent – contraintes de frapper à la porte des banques alimentaires, par exemple. Et au vu des chiffres de la pauvreté, tout cela n’est malheureusement pas encore suffisant. Pour vous donner une idée :
En 2023, on estimait que 13,2 % des jeunes de moins de 18 ans étaient exposés à un risque de pauvreté dans notre pays. Cela fait plus de 307 600 enfants et adolescents, imaginez-vous.
Selon les estimations toujours, 4,6 % des jeunes de moins de 18 ans couraient un risque de privations sociales et matérielles sévères en 2023. Soit 107 000 jeunes.
Vous trouverez plus d’informations et d’autres chiffres à ce sujet sur chiffrespauvrete.be <lien vers https://www.chiffrespauvrete.be/topic/pauvrete-infantile >, mais laissez-nous déjà approfondir quelque peu ce sujet :
Le risque de pauvreté fait référence au pourcentage de personnes dont le revenu disponible est inférieur au seuil de pauvreté. Par « privations matérielles et sociales sévères », on entend l’incapacité d’assumer des dépenses pourtant considérées comme souhaitables ou nécessaires par la plupart des gens. Par exemple : payer à temps ses factures, chauffer suffisamment l’habitation, remplacer des meubles ou des vêtements usés, avoir accès à Internet…
Si notre désir commun est d’offrir à chaque enfant un départ du bon pied dans la vie, votre aide à Pelicano est plus que nécessaire.
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