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    je soutiens un enfant Pelicano

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    Vous pouvez appeler notre numéro de téléphone pendant les heures de travail pour obtenir des informations ou poser des questions personnelles. Vous pouvez également nous envoyer un e-mail. Nous vous promettons une réponse rapide. Nous vous remercions de l’intérêt que vous portez à la Fondation Pelicano contre la pauvreté des enfants et à ses activités.

    QUESTIONS ET RÉPONSES.

    Réponses aux questions les plus fréquentes

    Vous avez une question sur ce que fait Pelicano ? Sur la manière dont vous pouvez nous aider ? Nous avons regroupé ici les réponses à quelques-unes des questions les plus fréquentes.

    Pelicano collabore avec des partenaires sociaux (écoles, CPAS, centres d’accompagnement scolaire, services sociaux du Palais Royal, personnes comme vous…) qui servent de maillon entre l’enfant et Pelicano.

     

    Ce sont nos partenaires sociaux qui nous transmettent les dossiers d’enfants qui grandissent dans des conditions déplorables. Nos commissions sociales (en Flandre et en Wallonie) se réunissent ensuite toutes les deux semaines pour étudier les nouveaux dossiers. Elles les soumettent à un examen approfondi qui intègre un grand nombre de critères. Ensuite, ces commissions décident si l’enfant sera retenu ou non.

     

    Nous ne pouvons aider que les enfants les plus vulnérables. Nos ressources restent (malheureusement) limitées. Votre aide peut donc réellement faire la différence.

    Votre don, quel qu’en soit le montant, est consacré presque intégralement, directement et sans détour aux enfants que soutient Pelicano en Belgique. Vous pouvez le constater dans notre dernier rapport annuel. Découvrez comment votre don est utilisé.

    Les enfants Pelicano sont des enfants de familles qui vivent en situation de pauvreté (parfois extrême) et auxquels notre commission sociale a décidé d’octroyer le statut d’enfants Pelicano.

     

    Initialement, Pelicano reçoit des demandes d’aide d’acteurs sociaux. Ces demandes proviennent d’écoles, de CPAS, de centres d’accompagnement scolaire… qui agissent en tant que partenaires sociaux de Pelicano. Ce sont aussi eux qui, après approbation, géreront l’aide financière accordée à l’enfant.

     

    L’approbation dont il est question ici est la décision que rend notre commission sociale à propos de chaque demande. Cette commission sociale se réunit toutes les deux semaines et se compose de trois experts qui ont une grande connaissance de (la lutte contre) la pauvreté.

     

    Si ces experts donnent leur feu vert, les enfants obtiennent le statut d’enfants Pelicano. Pelicano s’engage alors à les soutenir à long terme, c’est-à-dire jusqu’à ce qu’ils aient 18 ans ou décrochent un diplôme, plus précisément.

    Nous en faisons une affaire d’honneur : chaque montant que verse un donateur doit servir sans détour à nos enfants Pelicano. Nos partenaires sociaux y veillent. Votre contribution ne tombera pas entre les mains des parents de l’enfant, d’un tuteur ou d’autres organisations. Ces partenaires sociaux sont par exemple des écoles ou des CPAS. Ils entretiennent des contacts étroits avec l’enfant.

     

    De ce fait, et du fait que nous aidons l’enfant pendant des années, nous pouvons travailler de manière efficace et structurelle à des solutions destinées à sortir l’enfant de la pauvreté et à le maintenir à l’écart de celle-ci. Le partenaire social est en outre parfaitement placé pour juger des souhaits et besoins de l’enfant Pelicano ou pour en discuter avec lui.

    Par « pauvreté infantile », on entend les situations où des enfants grandissent dans des familles qui n’ont pas les ressources financières suffisantes pour pourvoir à des besoins de base comme l’alimentation, l’habillement, le logement, l’école et les soins de santé. Une telle situation favorise également l’exclusion sociale et a des conséquences graves pour le développement et le bien-être des enfants concernés.

    On ne connaît pas le nombre exact d’enfants en situation de pauvreté en Belgique. Les estimations varient de 165 000 à 375 000 enfants, en fonction de la définition retenue de la pauvreté et des données utilisées.

     

    Mais nous sommes d’accord sur une chose : chaque enfant en situation de pauvreté est un enfant de trop. Aidez-nous à éradiquer la pauvreté infantile…

    Un enfant en situation de pauvreté peut être confronté à différents problèmes qui se cumulent souvent. Ceci n’est qu’un petit aperçu :

     

    • Problèmes alimentaires : sous-alimentation et retard de croissance.
    • Problèmes de santé : risques accrus de maladies graves et chroniques.
    • Problèmes scolaires : retard d’apprentissage par manque de ressources et de stimulations.
    • Exclusion sociale : sentiment d’isolation et mauvaise image de soi.

    La charge psychique que représente le fait de vivre dans la pauvreté est peut-être aussi importante que le manque d’argent, de vêtements, de bons aliments… Elle est à l’origine de très nombreux problèmes, y compris chez les enfants (souvent jeunes) :

     

    • Stress chronique et angoisses.
    • Dépression et troubles de l’humeur.
    • Traumas et troubles du développement.
    • Mauvaise image de soi et isolement social.

    De nombreux enfants en situation de pauvreté n’ont pas l’énergie nécessaire pour être attentifs à l’école. Peut-être n’ont-ils pas eu un petit déjeuner sain, ou leur boîte à tartines est vide. De plus, ils ont souvent d’autres soucis en tête et ne disposent pas toujours du matériel scolaire nécessaire (cahiers, crayons, livres, ordinateur portable…).

     

    Tout ceci conduit souvent à des retards d’apprentissage ou à des redoublements. De nombreux enfants en situation de pauvreté quittent l’école sans diplôme. Quant à l’enseignement supérieur, il leur est souvent inaccessible pour une question de coût.

    La pauvreté est présente partout dans notre pays. Mais les spécialistes ont défini plusieurs groupes à risque spécifiques :

     

    • Enfants issus de familles monoparentales. Souvent, c’est la mère qui doit tout prendre en charge, et ce, avec un seul revenu.
    • Enfants de parents faiblement qualifiés. Ils combinent souvent un faible revenu et une sécurité d’emploi moindre.
    • Enfants issus de l’immigration. Les problèmes de langue, la discrimination et le réseau social réduit jouent ici un grand rôle.
    • Les enfants de familles nombreuses – trois enfants ou plus –, de familles recomposées ou de familles avec enfants issus de plusieurs relations sont également plus exposés.
    • De même, les enfants qui habitent en zone urbaine courent un plus grand risque de pauvreté que les enfants qui vivent à la campagne. Cela provient de facteurs comme des loyers plus élevés, un accès réduit à des crèches à des prix abordables et une plus grande concentration de chômage.

     

    Naturellement, cela ne signifie pas qu’il soit impossible à des familles de ces groupes de s’en sortir. Au contraire : nous ne pouvons que tirer notre chapeau à celles qui – malgré leur situation difficile – parviennent quand même à nouer les deux bouts, y compris pour leurs enfants.

     

    Votre aide sera en revanche très précieuse pour les enfants de familles qui, en raison des circonstances auxquelles elles sont confrontées, n’y parviennent pas.

    La pauvreté (infantile) est une problématique complexe. Souvent, elle trouve son origine dans une conjonction de plusieurs facteurs. Les principaux sont :

     

    • Des prestations sociales pas toujours suffisantes : pensez aux faibles allocations accordées aux chômeurs, aux parents isolés et à d’autres groupes vulnérables.
    • Un accès souvent complexe à l’aide sociale : des procédures bureaucratiques compliquées et des critères stricts peuvent entraver l’accès aux aides dont les familles vulnérables ont besoin.
    • L’accès à un enseignement de qualité n’est pas évident. Citons par exemple le financement inégal des écoles, qui a pour conséquence que les écoles des quartiers défavorisés ont souvent moins de moyens et de professeurs qualifiés que les écoles établies dans les quartiers plus riches, ce qui entraîne à son tour des retards d’apprentissage chez les enfants de familles pauvres et réduit leurs chances sur le marché du travail. De plus, les écoles situées dans les zones à forte concentration de pauvreté sont souvent « ségrégées » : les enfants qui les fréquentent ont moins de contact avec ceux issus d’autres milieux sociaux. Cela réduit d’avantage les possibilités de mobilité sociale.
    • Les crèches abordables ne sont pas toujours faciles à trouver. En conséquence, les parents peinent à se réinsérer sur le marché du travail, ce qui contribue à l’aggravation de la situation de pauvreté.
    • Des phénomènes de discrimination fondée sur l’origine ou la classe sociale. Les personnes provenant de familles défavorisées ou issues de l’immigration font souvent face à des préjugés sur le marché du travail, et ont moins d’opportunités d’obtenir des emplois bien payés. Dans certains cas, les personnes provenant de familles défavorisées ou issues de l’immigration sont même exclues des prestations sociales, ce qui les rend encore plus vulnérables à la pauvreté.

    L’évolution de la pauvreté infantile en Belgique ces dernières années est une problématique complexe aux nuances diverses.

     

    La bonne nouvelle est que le taux de pauvreté général en Belgique a baissé ces dernières années. Le taux de pauvreté parmi les enfants est également resté stable entre 2013 et 2020.

     

    Cependant, les écarts entre régions sont importants : c’est à Bruxelles que le taux de pauvreté infantile est le plus élevé avec 23,3%, suivie par la Wallonie (16,2%) et la Flandre (7,3%).

     

    De plus, la pauvreté de longue durée chez les enfants (au moins quatre années d’affilée) a de nouveau augmenté ces dernières années. Ce problème touche surtout les enfants de familles monoparentales ou de familles issues de l’immigration.

     

    Certes, on peut relever plusieurs évolutions positives :

    • Les allocations pour les enfants ont été augmentées ces dernières années ;
    • Le soutien psychologique des enfants en situation de pauvreté bénéficie d’une plus grande attention ;
    • On recense davantage d’initiatives ciblant la lutte contre la pauvreté et les personnes défavorisées au niveau local.

    Pourtant, de nouveaux défis apparaissent sans cesse :

    • La pandémie fait toujours sentir ses effets. Elle a accru l’inégalité économique en Belgique, ce qui a sans doute eu un impact négatif sur le taux de pauvreté parmi les enfants.
    • Le coût de la vie augmente : la hausse des prix de l’énergie et l’inflation font qu’il est de plus en plus difficile pour les familles à bas revenus de boucler leurs fins de mois.
    • Il règne actuellement une crise du logement. En raison de la pénurie de logements et des loyers élevés, il est difficile pour les familles en situation de pauvreté de trouver des logements abordables.

     

    Nous ne pouvons que brosser un tableau nuancé de l’évolution de la pauvreté infantile en Belgique ces dernières années. Et constater qu’il reste beaucoup d’enfants en situation de pauvreté qui ont réellement besoin de notre aide. Et donc de la vôtre.

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